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Je suis un loubard
24 novembre 2006

I'm not a [boof] addict

Artikule_

[...] Et maintenant un petit moment télévisuel [...]

L'histoire se passe à peu près au XXe ciel, depuis notre ère. Loubard reste plongé 4 ans sur son écran noir. Il attend que les choses se passent, que passe des choses et puis à côté mène une vie qui demande pas trop d'effort physique. Loubard s'empiffre et mange des choses à tout va et de plus en plus. Il devient comme ce monstre de Miyazaki qui ne peut s'empêcher de becter, de becter encore et encore, grailler ce qui lui tombe sous la main et apprécier les choses les plus grasses possible.

Seulement voilà, Loubard s'engraisse pour personne, surtout pas lui. Et quand il a cligné des yeux ce matin au réveil il s'est senti différent. Pas parce que depuis un certain temps l'imaginaire prend le dessus nan. Différent parce que le pas est lourd, les joues le sont aussi et le ventre prend une forme arrondi pas là où ça devrait. Putain de bordel de merde, moi qui pensait être à l'abri. Alors Loubard en parla à Tidji, qui lui conseilla de faire du sport.

"Genre toi, du sport ! Bah oui normal, t'es le roi du business, business moi !". Putain vas-y fous toi de ma gueule, c'est le moment. N'empêche si je fais rien bientot, je porterai la garde robe de Carlos, celle qui avait appartenu autrefois à Demis Roussos. C'est mort. Genre je vais ressembler au fils de Françoise Dol.. quelque chose. "Doll, comme ta Voodoo Doll, tête de con !". Tain Plum je sais que je suis gras ! vas y marre toi pas, c'trop pas drole, va jouer dans le micro-ondes.

J'ai l'air de sortir de portrait of an american family, de you've come a long way baby. Je suis un produit consomatteur. Don't super size me. C'est malin serieux, je vais devoir courir alors que j'ai horreur de ça. Je vais devoir faire du vélo.

A trop écouter K's Choice qui gueule I'm not an addict, je vais devoir manger des Special K parce que je suis devenu un boof addict. Sers moi un 51, un 102, jamais deux sans trois, faut que je puisse rentrer dans mon 501.

J'suis fat[igué]. Aurevoir.

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